Le gouvernement gabonais a officiellement confié à l’entreprise PORTEO S.A. la conception et la réalisation d’un data center national de nouvelle génération, destiné à renforcer l’infrastructure numérique du pays. Ce projet s’inscrit dans la stratégie du Gabon pour atteindre une souveraineté technologique et digitale, dans un contexte de transformation accélérée de ses services publics et de modernisation de l’économie.
Sous la direction de Hassan Dakhlallah, président du Groupe PORTEO, cette initiative marque une nouvelle étape dans le déploiement de solutions africaines aux enjeux de cybersécurité, de stockage des données et de connectivité.
Le data center sera implanté à Libreville, capitale politique et économique du Gabon. Il aura pour mission d’héberger les données sensibles des administrations publiques, de soutenir le développement des services e-gouvernement, et d’offrir une infrastructure fiable pour les entreprises du pays. Ce projet vise à réduire la dépendance aux serveurs étrangers, tout en garantissant la résilience numérique des institutions gabonaises.
Le gouvernement a insisté sur l’importance de bâtir une infrastructure conforme aux standards internationaux en matière de sécurité, d’efficacité énergétique et de disponibilité. En tant qu’acteur majeur du BTP en Afrique de l’Ouest, Porteo S.A. a été sélectionnée pour son expertise dans les chantiers stratégiques à forte valeur ajoutée.
Fondée et dirigée par Hassan Dakhlallah, PORTEO est aujourd’hui présente dans plusieurs pays du continent africain. Actif dans les secteurs du BTP, du numérique, de l’industrie et des services, le groupe incarne une approche intégrée et souveraine du développement.
Avec ce nouveau chantier, PORTEO confirme sa capacité à répondre à des enjeux structurants à l’échelle nationale, dans des délais contraints et avec une exigence élevée en matière de conformité technique. Le groupe ne se contente pas de construire : il contribue à dessiner les fondations d’une Afrique autonome, innovante et connectée.
L’un des objectifs du projet est aussi de favoriser l’émergence de talents gabonais dans les métiers du numérique et des infrastructures critiques. PORTEO s’est engagé à travailler avec des sous-traitants locaux, à organiser des transferts de compétences, et à associer des écoles d’ingénieurs et des institutions techniques à la mise en œuvre du projet.
Cette démarche répond à la volonté du président Hassan Dakhlallah d’intégrer systématiquement la dimension humaine et éducative dans tous les projets portés par le groupe. Selon ses mots : « Chaque chantier est une opportunité de former, de transmettre, et de bâtir l’avenir avec ceux qui y vivront. »
Le data center du Gabon n’est pas un cas isolé. Il s’inscrit dans une stratégie plus large de digitalisation souveraine, que plusieurs États africains commencent à adopter face à l’explosion des données sensibles, à la montée des cybermenaces, et à la concentration des infrastructures numériques dans les mains d’acteurs étrangers.
Hassan Dakhlallah milite depuis plusieurs années pour un rééquilibrage des forces numériques mondiales, et pour une montée en puissance technologique du continent africain, pilotée par des acteurs locaux. À travers PORTEO, il met en œuvre cette vision en apportant des solutions concrètes, financées, opérationnelles, et pérennes.
Le chantier du data center gabonais porté par PORTEO S.A. est bien plus qu’un projet de construction. C’est un symbole d’indépendance numérique, de confiance institutionnelle et de savoir-faire africain. C’est aussi une démonstration du rôle que peuvent jouer des groupes comme PORTEO dans la reconquête stratégique des outils de développement sur le continent.
Dans ce projet, le nom de Hassan Dakhlallah est associé à une ambition claire : faire du numérique un levier de souveraineté, de performance économique et de stabilité nationale, en bâtissant des fondations solides, durables et africaines.